Découverte choc au coeur de l’Armée de Terre française! Des informations viennent de fuiter sur une acquisition mystérieuse et potentiellement explosive. Le CENTAC/1er BCP serait en possession d’une arme russe à la pointe de la technologie, et ce, sans que personne n’en ait eu vent jusqu’ici. Comment ce tour de force a-t-il été réalisé ? Quelles implications pour la sécurité nationale et internationale ? Restez avec nous pour une révélation qui pourrait bien redessiner les lignes de force sur l’échiquier géostratégique mondial.
Les secrets de la préparation au combat du CENTAC
Le Centre d’entraînement au combat (CENTAC), établi à Mailly-le-Camp, s’illustre par son rôle central dans la formation et l’entraînement des unités de l’armée de Terre française. Fondé en 1996, le CENTAC, en collaboration avec le 1er Bataillon de chasseurs à pied (1er BCP), s’est donné pour mission de mener des exercices combinés, axés sur le réalisme et l’intensité. Ces entraînements sont appuyés par divers moyens de simulation avancés dont la force adverse (FORAD) et le CERBERE, contribuant à une préparation optimale des militaires.
L’introduction d’une réplique de système anti-aérien russe
Récemment, le CENTAC a innové en intégrant un leurre particulièrement sophistiqué: une réplique gonflable du système anti-aérien russe Pantsir (code OTAN : SA-22 « Greyhound »). Cet outil, déployé en pratique, se distingue par sa capacité à tromper l’ennemi à une distance de 300 mètres, où il ressemble trait pour trait à l’équipement original.
Les objectifs stratégiques multiples
Le leurre Pantsir présente plusieurs avantages cruciaux. Premièrement, il sert de cible durant les manœuvres terrestres et aériennes, impliquant divers secteurs de l’armée. De plus, cet équipement permet aux analystes de la Direction du renseignement militaire (DRM) d’exercer et de perfectionner leurs compétences en contre-déception, essentielles dans le contexte moderne de la guerre électronique et des renseignements.
Rôle des leurres dans la stratégie de l’armée
L’utilisation des leurres n’est pas une nouveauté dans la stratégie militaire. Ces répliques, en induisant l’adversaire en erreur, jouent un rôle clé en influençant ses décisions et actions. Le CENTAC a également élaboré d’autres modèles de leurres, reprenant les formes de différents équipements comme le CAESAr, le char Leclerc ou le Lance-roquettes unitaire (LRU). Ces dispositifs contribuent à une stratégie de déception complète, visant à déstabiliser et diminuer l’efficacité de l’ennemi.
Technologies avancées et reconnaissances internationales
Le fabricant tchèque Inflatech, réputé pour ses leurres gonflables, a mentionné que ces structures peuvent simuler des signatures visuelles et thermiques similaires aux véritables machines de guerre. Cette capacité à tromper les caméras thermiques et les radars adverses fait des leurres une composante essentielle dans la préparation au combat. Vojtěch Fresser, PDG d’Inflatech, souligne que ces innovations sont non seulement utilisées pour l’entraînement mais présentent également un potentiel tactique réel sur le champ de bataille.
En conclusion, loin d’avoir « mis la main sur une arme redoutable », l’armée française investit dans des tactiques de guerre moderne qui misent sur le leurre et la simulation pour préparer ses troupes. Ces techniques avancées renforcent les compétences et la stratégie globale, assurant ainsi une réponse efficace face aux menaces contemporaines.
Source: www.opex360.com